Le populaire événement qui se déroule du 4 au 14 juillet pourrait alors difficilement être utilisé comme levier pour les syndiqués dans l’avenir comme on l’a vu deux fois en trois ans.
Non, croit Bruno Marchand. Mais le maire de Québec ne veut pas voir le Réseau de transport de la Capitale plier pour autant à quelques heures du déclenchement potentiel d’une grève des employés d’entretien du RTC vendredi, deuxième jour du FEQ qui commence jeudi.
S’il doit y avoir une grève, il y aura une grève, a dit en substance le maire de Québec mercredi en point de presse avant le dernier conseil municipal avant l’été.