Le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, avait averti le monde il y a quelques jours. Il faut que ça change, a-t-il, encore une fois, répété devant un public blasé qui s’en foutait et qui scrollait sur Facebook.

Les signes étaient là, pourtant, comme les derniers Olympiques d’hiver où les athlètes devaient survivre aux centrales nucléaires chinoises.
«Je ne veux plus jamais vivre sans bidet!»
— Une personne heureuse d'être contente
La vague caquiste aussi était annonciatrice d’un je-m’en-foutisme généralisé.
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L’équipe d’enquête de La Tribune a retrouvé une motoneige abandonné au milieu d’un champs, le conducteur avait tenté de fuir le chaos avec celle-ci, oubliant, dans la panique, qu’un skidoo, ça ne roule pas très bien dans l’herbe.
D’autres personnes ont tenté de fuir la morosité en bateau, sur le lac Memphrémagog, vers de rares rivages pas encore envahis par des chalets privés appartenant à des millionnaires.
Mais le plus mystérieux est ce phénomène ou des gens sont disparus dans un écran de fumée, rappelant ces bons vieux tours de magie.
Une source de bonheur?
Seule un petit groupe de résistants semblent résister au blues de février, affichant un sourire béat qui en gosse plusieurs. Selon les recherches de la Dr Mélissa Généreux de l’Université de Sherbrooke, le secret de leur bonheur serait leur utilisation du bidet.
Seul un petit groupe de résistants semblent résister au blues de février, affichant un sourire béat qui en gosse plusieurs. Selon les recherches de la Dr Mélissa Généreux de l’Université de Sherbrooke, le secret de leur bonheur serait leur utilisation du bidet.
«Je ne veux plus jamais vivre sans bidet!», s’est exclamé l’une des personnes trop heureuses.
«Le bidet, c’est la vie!», a ajouté une autre personne du groupe avant de partir gambader dans la rue.